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Les 3 nouvelles sériees qu’il va falloir suivre ces prochains mois !

Séries - stephanie - juin 19, 2016

L’année 2015 a été une année riche pour les amoureux des séries, et la source n’est pas prête de se tarir, des nouvelles séries toutes plus exceptionnelles les unes que les autres vont bientôt voir le jour en France.

Car la rentrée américaine a été fructueuse, et les chaînes américaines ont déjà commencé à diffuser les nouveautés, mais quelques-unes pourraient sortir du lot, on en a répertorié trois :

La soif de découverte étant un élément essentiel, la série « Scream Queen » va en intéresser plus d’un.

Cette série américaine se base sur l’univers des Universités américaines et met en avant des filles toutes plus sexy les unes que les autres et l’ambiance idyllique vont bientôt prendre fin …

Un tueur est prêt à mettre le Campus Universitaire dans tous ses états, un trio de choc va voir le jour et l’ambiance très girly de la série va attirer en priorité les amoureux des séries à l’ambiance survoltée !

Voilà pour la première série à suivre, la seconde est plus légère nous raconte l’histoire d’un jeune homme qui va tomber amoureux de sa voisine.

Malgré ce concept plutôt simple, la série intitulée « The Guide To Surviving Life » s’annonce hilarante, car le jeune est légèrement désabusé et ne sait pas qu’elle direction prendre pour avoir une vie idéale. Ainsi, on va suivre les péripéties de cet homme et de ses amis tous plus délurés les uns que les autres …

Même si « Flesh And Bone » semble n’être qu’un remake du désormais célèbre film Black Swan, il n’en est rien.

L’univers impitoyable de la dance va prendre une nouvelle dimension avec cette série cruellement vraie.

Le talentueux Ethan Stiefel est de la partie, une raison de plus pour suivre cette aventure sans craindre les déconvenues.

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Pourquoi les séries comiques américaines n’ont pas réellement de succès en France ?

Cinéma - stephanie - mai 29, 2016

Si les séries comiques américaines cartonnent dans leur pays, en France elles ont beaucoup de mal à s’imposer. Pourtant on constate que les séries policières américaines cartonnent en France tandis que les comiques se font plus rares.
Si cela peut paraître étonnant, il y a pourtant une raison plutôt simple à ce phénomène. En voici les raisons.
Non, les Français ne sont pas tristes et cyniques. La comédie française marche très bien mais en France. Les Français aiment rire et faire rire, il n’y a aucun doute la dessus.

Le souci vient plutôt du fait que l’humour des séries comiques américaines n’a rien à voir avec l’humour français. C’est d’abord une histoire de culture qui n’est pas la même. L’humour américain est plutôt lourd et potache. Les blagues sont plutôt grossières et pas forcément fines et bien réfléchies, à l’inverse de l’humour français et de l’humour qu’apprécient les Français. On dit souvent également que les américains ont tendance à en faire trop. Ils parlent trop fort crient souvent et s’expriment d’une façon que nous n’avons pas l’habitude d’entendre en France. C’est pour cette raison que les séries comiques américaines ont beaucoup de mal à trouver leur place en France. L’humour américain ne fait pas rire les Français.

Il y a aussi le fait qu’en terme d’humour il est parfois compliqué de traduire ou de retranscrire. En effet l’humour utilise beaucoup d’expressions, de sous-entendus et de phrases qui sont particulières à chaque pays et à chaque culture. Il nous est donc parfois difficile pour nous Français, de comprendre l’humour américain.

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Sziget Festival à Budapest : tout savoir sur les têtes d’affiche de l’édition 2016

Cinéma, Festivals - stephanie - mai 29, 2016

Le Festival Sziget qui a vu le jour en 1996 aura lieu à Budapest du 10 au 17 août prochain. Pour cette 24e  édition, les organisateurs ont déjà dévoilé la liste des têtes d’affiche. Et cette année, on peut dire que les participants français seront comblés car plusieurs artistes francophones sont à l’honneur. Découvrez dans cet article un aperçu des têtes d’affiche de ce grand événement musical européen.

Têtes d’affiche du Festival Sziget 2016 : les artistes français et francophones à l’honneur

Pour la 24e édition du plus grand festival open air du continent européen,  les organisateurs ont décidé de faire la part belle aux artistes français avec notamment Deluxe, Jain, M83, Manu Chao, Nneka, IAM et bien plus encore annoncés sur scène à la grande joie des festivaliers venus de l’Hexagone. Avec eux, la liste des têtes d’affiche francophones du Festival Sziget de cet été sera plutôt longue. En dehors de ces Français, les participants au rendez-vous de Budapest pourront chanter et danser sur les rythmes des rappeurs belges de La Smala et de bien d’autres noms de la musique francophone comme Soviet Suprem, Oscar and the Wolf ou encore David Guetta.Â

Outre ces artistes francophones, on retrouve parmi les têtes d’affiches des noms tels que Naughty Boy, John Newman, Rico & Sticks , The Neighbourhood, Wilkinson, Travis Scott,  BULLET FOR MY VALENTINE, Nicky Romero,  Rihanna, Noel Gallagher’s High Flying Bird,  Jess Glynn, Kaiser Chiefs, Sum 41, Years & Years, Muse, Parov Stelar et bien d’autres encore.

On peut le voir, le programme du Festival Sziget 2016 de cet été est assez alléchant et les festivaliers qui y participeront seront simplement ravis.

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Rogue One : le future block Buster franchisé Star Wars ! :

Films - stephanie - mai 28, 2016

Quel tintamarre, quel marketing, quel engouement à l’hiver 2015 pour la sortie du nouvel épisode de la mythique saga Star Wars. Si le soufflet est bien entendu un peu retombé durant cette année, il va reprendre de plus belle en cette fin 2016 avec un épisode non canonique mais très attendu des fans.

Que ceux que la chronologie des événements a toujours rebuté passent leur chemin. Si les films des années 2000 nous ont fait suivre une histoire précédent les films des années 80, la série ouverte l’an dernier semblait avoir pris la bonne voie en étant la continuation de l’ensemble. Mais c’est sans compter la capacité de Disney à réutiliser le matériau existant. Rogue One est donc un retour en arrière, au moment de la création de la mythique Etoile Noire.

Dans un empire galactique contrôlé par Palatine et son subordonné Dark Vador, tout espoir est proscrit. Pas pour un groupe de résistant qui a vent de l’élaboration de cette fameuse Etoile Noire. Pressentie pour être l’arme la plus destructrice jamais imaginée, de la taille d’une lune, ses plans doivent être volés par les rebelles pour espérer pouvoir la détruire. Ces mêmes plans qui sont le point de départ de la saga Star Wars.

Justement, avec Star Wars et Disney, tout s’imbrique, tout se mêle pour offrir un arc narratif toujours plus riche. C’est d’ailleurs la grande force et le grand pari de ce titre. Offrir une atmosphère plus sombre et plus guerrière là où Star Wars offrait toujours des couleurs éclatantes, des personnages accrocheurs. Rogue One, c’est du Star Wars sans les Jedis et leurs sabres laser, si on excepte le grand ennemi Vador. Au vu des bandes annonces déjà diffusées, c’est aussi un humour moins présent, où la répartie de Han Solo est loin d’être présente. Disney prends donc un risque, calculé certes mais un risque tout de même en présentant un épisode qui sort de l’ordinaire.Â

Loin d’être seulement là pour faire le lien entre le 7 et le 8, c’est en vérité une nouvelle franchise dans la série qui s’amorce. A l’instar du Marvel Cinematic Universe (Avengers, Iron Man, Captain America et ainsi de suite), tous les épisodes s’entremêlent tout en fournissant des histoires uniques.Â

Futur blockbuster, cette histoire de Star Wars, A Star Wars Story dans le titre original, promet beaucoup en terme de spectacle. Le 7 avait été relativement terne de ce côté si on excepte la séquence de renaissance du Faucon Millénium. Le gigantisme de l’Etoile Noire, les paysages marins et le savoir-faire d’ILM offrent déjà un spectacle qu’il nous tarde de découvrir. Et ce n’est pas les rumeurs ed remaniement, les annonces de changement de compositeur qui pourront affecter le résultat final. La valeur de la franchise, le professionnalisme de Disney en matière d’entertainment, de divertissement, assure déjà un succès tant sur le nombre d’entrées et que dans les esprits.

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Les films qui nous aideront à survivre à la fin de l’année 2016

Cinéma - stephanie - mai 23, 2016

 Les plus attendus sont-ils les meilleurs ?

Alors que le tapis rouge du festival de Cannes a depuis plus de trois mois rejoint l’entrepôt, les cinéphiles attendent avec impatience les films, primés ou non, qui ajouteront une touche de gaieté durant cette période un peu morose de reprise du travail.

On ne peut manquer de citer les blockbusters qui ont déjà envahi la Toile avec des trailers ou bandes annonces à couper le souffle. On peur relever :

Ben-Hur de Timur Bekmanbekov qui tente de rajeunir le péplum bien connu avec Charlton Heston. On retrouvera cette histoire de trahison avec plaisir. Pour les plus jeunes, ce sera l’occasion de se familiariser avec la grande histoire : celle de Rome et de ses tyrans, de l’esclavage et des jeux du cirque. Il est toujours difficile de s’engager dans des remake, mais c’est aussi la possibilité pour un réalisateur de se démarquer des sentiers battus par d’autres talents que le sien. Sans doute un spectacle grandiose en perspective.

Dans la série des remake, on peut citer Les sept mercenaires qui propose de revisiter le western de 1960 avec Steve Mac Queen qui était lui-même un remake du film japonais Les sept Samouraïs. Nul doute que le scénario qui consacre ces sept mercenaires pour en faire des héros au service de la veuve et de l’orphelin recevra des échos favorables en ces temps troublés.

Alors que l’on croyait le cycle bel et bien bouclé, Star  Wars : Rogue 1 ravira les fans de ce cycle culte en décembre. Ce sont les studios Disney qui ont repris l’esprit de la Force pour le porter vers de nouvelles aventures.Â

On pourra également voir l’adaptation filmique du jeu vidéo Assassin’s Creed avec Marion Cotillard et Michael Fassbender, film que les gamers ne pourront renier.

Pour sourire, on pourra retrouver Bridget Jones pour un troisième opus avec une Renée Zellweger, quadragénaire en mal d’enfant. Celle qui nous avait fait part de ses déboires amoureux pour finalement trouver chaussure à son pied en la personne de Mark Darcy, nous racontera comment déjouer les problèmes de l’âge pour assumer une grossesse épanouie.

Brice de Nice reviendra lui aussi sur sa vague mythique avec un Jean Dujardin échevelé pour un troisième volet qui a laissé le 2 en rade.

D’autres rencontres à ne pas manquer

Au-delà des blockbusters et des suites, d’autres sorties notoires sont à mentionner.

Pour les amateurs de fantastique, Miss Peregrine et les enfants particuliers de Tim Burton mettra en scène un scénario remarquable pétri d’imagination et de suspense.

Dans le même registre, on trouvera Les Animaux Fantastiques de David Yates ou encore Vaiana, la légende du bout du monde. Ces films sauront assurément insuffler un peu d’imaginaire à nos esprits embués.

Pour celles et ceux qui recherchent des films qui retracent l’actualité, ils verront Snowden réalisé par Oliver Stone. Ils pourront s’attacher à la destinée de ce lanceur d’alertes, bénéficiant d’un droit d’asile en Russie jusqu’en 2017.

On pourra terminer avec Juste la fin du monde du talentueux et précoce Xavier Dolan, un huis-clos adapté d’une pièce de théâtre qui sortira en septembre et à ne pas manquer.

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My Hero Academia, digne successeur de Naruto Shippuden ? :

Séries - stephanie - mai 23, 2016

 Œuvre de l’auteur nippon Kohei Horikoshi, My Hero Academia qui est sorti en France depuis avril 2016 rencontre un franc succès auprès du public. En un an, les 8 premiers tomes se sont vendus à plus de 4 millions d’exemplaires. Il faut dire que la série a raflé de nombreux prix depuis la sortie de son premier volume. On peut notamment le 2e Prix des libraires 2015 et  bien plus encore. Comme on peut le voir, le shonen MHA démarre très fort et on devrait s’attendre une popularité mondiale à l’image de Naruto dont il est pressenti pour en être un digne successeur.Â

Une série ayant les atouts pour succéder à Naruto selon Masashi Kishimoto

My Hero Academia possède-t-il le coffre nécessaire pour prendre la succession de Naruto connu pour être l’un des mangas les plus populaires au monde ? Il faut répondre par l’affirmative quand le créateur du célèbre manga Masashi Kishimoto dire ceci dans l’une de ses déclarations : « Je pense que My Hero Academia est la série qui prendra la succession de Naruto ». De tels propos venant d’un personnalité aussi critique achève de convaincre même les plus sceptiques sur la capacité du shonen MHA. Point n’est besoin d’ailleurs de trop de spéculation à ce sujet dans la mesure où les ventes réalisées en une année sont simplement exceptionnelles.Â

Les éditions Ki-Oon mettent les bouchées doubles pour satisfaire les fans français de mangasÂ

Le succès que rencontre My Hero Academia constitue une source de motivation supplémentaire pour l’éditeur. Les premiers volume de la traduction du shonen ont été déjà publiés. L’objectif visé étant de permettre aux amateurs de mangas de l’Hexagone de se plonger sans trop attendre dans l’univers unique où évolue le jeune Izuku. Dépourvu de pouvoir dans un monde où plus de 80% de la population en possède, il doit assister impuissant aux combats opposant chaque jour les super-héros et les supers vilains.  Dans les rangs des supers héros se trouvent son idole All Might. Il fait la rencontre fortuite de ce dernier alors qu’il s’apprête à refuser son intégration la prestigieuse Hero Academia. Cette rencontre va changer son existence dans la mesure où son idole lui proposer de l’entraîner sans se préoccuper de savoir si celui-ci possède ou non un superpouvoir.Â

Avec des personnages attachants car barrés, My Hero Academia séduit par sa facilité de lecture. Le style direct utilisé par l’auteur simplifie la compréhension et évite les écueils possibles.Â

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2015, l’année des reprises d’anciens concepts pour le cinéma ?

Films - stephanie - mai 23, 2016

L’année 2015 donne le sentiment au cinéphile du déjà vu. C’est le grand retour de Star Wars qui donne cette impression, avec une sortie très médiatique, et un nouveau James Bond.Â

Star Wars, l’éternel retour

L’authenticité est une obligation pour la production qui ne veut pas déplaire aux fans. On se retrouve donc en terrain archi-connu. Star Wars épisode VII n’apporte pas de vraies surprises. La réalisation de J.J. Abrams a néanmoins l’avantage de remettre la science-fiction au goût du jour. Un succès de librairie permet aussi de sortir un film sans surprises : c’est le cas de 50 Nuances de Grey de Sam Taylor-Johnson, avec la belle Jamie Dornan et Dakota Johnson. Les amateurs de cinéma d’auteurs retrouvent Tim Burton, avec Big Eyes, et Woody Allen, avec l’homme irrationnel, proposant Emma Stone à l’écran, sans oublier Quentin Tarantino et son The Hateful Eight. Spectre, le dernier 007, ne nous fait pas non plus oublier un autre retour, celui des Minions. Quant aux enfants, ils redécouvrent le Livre de la jungle, nouvelle version, mais du déjà vu.

Le succès des franchises

De plus en plus, les créations cinématographiques valorisent des franchises. on décline une même histoire plusieurs fois, en usant à fond les personnages de l’histoire. On peut comparer les films à un logiciel souvent remis au goût du jour avec de nouvelles versions qui répondent aux attentes du public. On retrouve ainsi Mad Max et les Avengers. C’est aussi le retour de Terminator, avec l’acteur culte Schwarzenegger, sous la direction d’Alan Taylor. Magic Mike XXL de Gregory Jacobs marque le retour des gars musclés. Ted 2 et Le Labyrinthe 2 confirment les retours de personnages appréciés au cinéma. Les spectateurs ont eu droit également à Mission : Impossible 5, de Christopher McQuarrie. Enfin, les héros de Marvel reviennent au cinéma avec Ant-Man, l’homme fourmi. Â

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Tout ce qui va nous manquer avec la fin de la série Mad Men :

Séries - stephanie - mai 22, 2016

Don Draper : l’incarnation du self made man

La série Mad men débutée en 2007 s’est achevée en 2015, au terme d’une septième saison mettant en scène un épilogue attendu. John Hamm, réalisateur et acteur du rôle titre  l’a portée à bout de bras pour en faire une des séries les plus réussies de cette dernière décennie. Les raisons de ce succès sont sans doute et paradoxalement dues pour une part au rythme particulièrement lent de l’action au cours de ces épisodes. Le voile se lève peu à peu sur la part d’ombre de Don draper et le spectateur est comme hypnotisé par ces scènes itératives, ces flashbacks qui échafaudent une construction pierre par pierre du passé tumultueux du héros.

Mad men est également une plongée dans l’univers des années soixante au cÅ“ur des Trente glorieuses. Tout y est lumineux et c’est également un parti-pris pour la prise d’images que d’éclairer ces tableaux d’une lumière chatoyante. Le monde de la publicité dans lequel évolue Don, bien qu’il soit, a l’instar du héros, un univers contrefait lui permet de se hisser au sommet et d’acquérir tous les biens de consommation convoités.

Une série à visée philosophique

Sans trop vouloir théoriser sur l’objectif de cette série, on peut tout de même avancer qu’elle veut interroger le spectateur sur le bien-fondé de notre société de consommation. Don Draper va beaucoup posséder ; des biens matériels mais également des femmes. Toutes ses possessions vont peu à peu lui être retirées et il trouvera finalement la sérénité dans le dénuement. Cette morale qui rejoint  l’ascétisme prôné par de nombreuses religions s’impose comme la voie du salut ou de la rédemption pour cet être tourmenté qui a toujours été un Janus, un être plein de duplicité. L’épilogue de cette série est aussi celui d’une identité retrouvée et Don pourra enfin se réapproprier son nom en prenant la route.Â

On pourrait aussi suggérer que cette série fait la part belle aux femmes qui, à l’égal des hommes, peuvent s’imposer dans le milieu du travail. Rappeler cette opportunité n’est pas vain dans des sociétés où les femmes sont encore moins bien payées que les hommes et où la parité n’est pas encore présente partout.

En conclusion, ce sont tous ces aspects novateurs alliée à cette philosophie quelque peu surannée mais tellement juste qui vont nous manquer avec la fin de cette série qui a su apporter un regard parfois critique sur les années soixante en délivrant un message que nous pouvons reprendre à notre compte. Effectivement, on peut toujours se demander si la consommation à outrance est un gage de bonheur.

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